Naguère et presque jadis, quand les bus creusaient leur sillon dans la rue de la Liberté, et que le Bareuzai les comptait par mille. Répondre ↓
Naguère et presque jadis,
quand les bus creusaient leur sillon dans la rue de la Liberté,
et que le Bareuzai les comptait par mille.
Oui, – –quelle époque étonnante et mystérieuse ! … (Up)